Intellectuels pour l\'évolution de la Société

Intellectuels pour l\'évolution de la Société

Pour l'épanouissement de nos enfants

Un Enfant Epanoui = Homme  ou Femme Equilibré(e) Saint d'esprit = Société Evoluée

* Article 1: Epanouissement de l'Enfant à l'aide des techniques de théâtre

Identité, imagination, gestion des émotions : des clés pour son développement

Source: Site Internet - Happy Parents.com

Afin que l'enfant sache que l'univers appartient à ceux qui savent regarder, comprendre, aimer.

En faisant appel à sa joyeuse capacité de jouer, d'imaginer, de s'émerveiller, cette toute première approche artistique contribue au développement harmonieux de l'enfant et l'ouvre petit à petit à lui-même, à l'autre, au monde.

Objectifs :

Affirmation de son identité . Découverte de son unicité dans ses différences . Développement des expressions verbales et physiques . Découverte de sa propre palette d'émotions avec laquelle il va donner vie aux différents personnages . Extériorisation de ses émotions . Socialisation . Techniques de communication verbale et non verbale

Moyens :

* En utilisant et en développant son imaginaire à travers de multiples situations de vie ; en devenant une fée, un magicien,….

* Avec des accessoires : rubans, chapeaux, foulards, bâtons, baguettes magiques, maquillages, déguisements…

* Par le jeu avec les marionnettes

* Par le mime



Remarques :

Il n'y a pas de spectacle en fin d'année. Une représentation grignoterait trop de temps sur les séances et nous forcerait à travailler sur le paraître alors que l'atelier se focalise sur l'être . Je vous inviterai en fin d'année pour vous passer un petit film de vos enfants.

Cette méthode est dédiée :

 - aux enfants et à tous ceux qui les aiment.
 - à ceux qui ont tant à exprimer et qui trouvent difficile de le faire. (Parfois, l'enfant est tellement envahi par les sentiments qu'il éprouve qu'il en est bouche cousue. )
 - à tous ceux qui avaient envie d'un atelier " Théâtre " qui soit l'occasion d'expérimenter, de s'essayer, d'explorer son être en devenir et d'autres êtres.
 - à tous ceux qui sont en quête d'épanouissement, de mieux être et qui souhaitent communiquer en toute vérité.
 - à tous les enfants qui avaient bien noté que l'on parle beaucoup avec beaucoup d'autres choses que les mots. (le regard, la moue, le corps, le silence...) 
 - à ceux qui savent déjà tant… cependant, des petits jeux d'articulation aideront à mieux parler, à mieux entendre, à mieux lire et à mieux réussir ses dictées !....

Et si on s'amusait à jouer la Vie en utilisant une des plus grandes richesses de l'enfance : La CREATIVITE ?

Marcel MARECHAL dit : " Le théâtre est un instrument de libération personnelle. C'est un outil d'éducation, de communion, de prise de conscience sociale. "

Pour plus d'informations sur cette méthode, et notamment  la mesure des résultats obtenus, voir la rubrique Méthode Théâtre du site.


* Article 2:

 (Le 31 mars 2011)

 

 Emploi de la mère ne gêne pas le développement des enfants - étude

Source : www.themedguru.com

 

Des chercheurs de l'Université de Columbia qui ont évalué l'impact total de l'absence de la mère de la maison sur le développement mental et social de l'enfant a conclu que les avantages de l'emploi de la mère l'emporte largement sur les conséquences négatives.

  

Jane Waldfogel, professor of social work at Columbia, who co-authored the study, stated, “Prior research has asked a somewhat artificial question: if the one thing that changed in a family was that the mother went out to work, what difference would it make for the child?" Jane Waldfogel, “But in reality, lots of other things change the minute she goes out to work, including the quality of childcare, the mother's mental health, the relationships within the family and the household income. We've examined all those things.”.

  

Effect of maternal employment on child's development Effet de l'emploi maternel sur le développement de l'enfant


In order to examine the effect of maternal employment on child's development, the researchers tracked more than 1,000 infants from birth to age seven from 10 different parts of US.

As a part of the study, they took in to account family relationships, household income, kids academic test scores and their overall behavior.

It was observed that women who resumed full-time work before their tots turned one year old had little time to interact with their kids.

Also, it was noted that their kids were inclined to fare poorly in cognitive tests with the disadvantage persisting right up to primary school.

However, there were many positives that balanced out the negatives. Cependant, il y avait beaucoup de points positifs que les négatifs s'équilibrent.

 

The prospective benefits Les avantages potentiels


Career women boasted of better mental health and were able to build healthy relationships within the family.

The study found that working moms displayed greater "maternal sensitivity," towards their children, than stay-at-home mothers.

Moreover, because of financial stability women were able to provide high-quality child care since they could afford the best nannies and nursery places for their babies.

 

While full time maternal employment did not have any adverse impact on the child's well being, children whose moms worked under 30 hours a week were winners all the way.

Not only did the kids gain on parental interaction but also benefited from the higher family income, better childcare and a happier home life.

Waldfogel stated, "The effect of the parenting itself is the key factor.It is hugely important how sensitive you are to your child's needs."

 

“Even for women who have to work more than 30 hours a week, they can make things better for themselves, they just need to take a deep breath on the doorstep, dump all the office worries behind them and go in the door prepared to pay attention to all their children's cues.

 This is good news for all mothers.The study was published last week by the 'Society for Research in Child Development.'  

 

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Psychologie de l’enfant

 

A quoi ça sert un père ? 

Par : Dominique Pir

 

Source : www.doctissimo.fr

 

On a souvent enfermé le père dans l’image de l’autorité et négligé son importance dans l’épanouissement des enfants. Si tous les pères ne sont pas au square dès 16 h 30, leur rôle a considérablement évolué depuis plusieurs années et on parle même des "nouveaux pères"… Le point sur leur place dans la famille et leurs nouvelles fonctions…

 

On a longtemps pensé que seule la mère était indispensable au bon développement de l’enfant. On sait maintenant que le rôle du père est loin d’être secondaire... au-delà de la figure d’autorité traditionnelle, il exerce une influence positive sur l’ensemble de la personnalité de l’enfant, et ceci dès son plus jeune âge.

 

Le père fouettard…

 

La psychologie du XXe siècle s’est accordée à attribuer essentiellement au père la fonction de représentant de la Loi : c’est lui qui, par le fait son existence (au moins dans l’esprit de la mère), empêche symboliquement que la relation fusionnelle mère-nourrisson ne se prolonge plus que nécessaire. Cela permet ainsi à l’enfant de s’ouvrir au monde des autres. Le père incarne et transmet à l’enfant les règles qui lui permettront d’acquérir force de caractère, pouvoir de contrôle, sens moral et désir d’affirmation positive de soi. La figure traditionnelle du père se situe donc du côté de l’autorité et il joue un rôle dans la socialisation.

 

Modèle d’identification…

 

Il est également établi que le père joue un rôle important dans la construction de l’identité sexuelle de l’enfant. Pour le garçon, il est un modèle d’identification : celui à qui il va chercher à ressembler. Pour la fille, il est une sorte de modèle idéal de l’autre sexe : celui qu’elle cherchera à retrouver après la puberté.

Dans cette perspective classique, c’est à la mère d’apporter à l’enfant en bas âge affection et présence active; le père n’a pas de rôle à jouer avant la fin de « l’âge tendre ». La fonction qui lui est attribuée est symbolique et sa présence effective n’est pas considérée comme indispensable au tout jeune enfant. Ce qui importe, c’est que le père existe dans la pensée et la parole de la mère, indiquant ainsi au petit qu’il n’est pas l’unique objet de son désir. Si ce schéma reste valable pour la plupart des psychologues, il n’explique pas l’influence éventuelle du père en tant que présence affective et effective. Or les temps changent et les pères aussi...

 

Les temps ont changé

 

Le rôle traditionnel accordé au père est lié à une conception schématique et dépassée du couple : à l’homme, le monde extérieur et la fonction économique ; à la femme le foyer et la fonction affective. Il est également lié à un modèle de structure familiale construite pour durer.

Or le couple a évolué. Les femmes ont investi le monde du travail et les pères ont tendance à s’impliquer davantage auprès du jeune enfant, dans les jeux, mais aussi dans la vie quotidienne, les repas, les bains… La structure familiale a éclaté pour faire place à une mosaïque de structures différentes (monoparentale, familles recomposées…). Enfin, la vision des rapports au sein de la famille a changé ! La femme n’accepte plus d’être réduite à la maternité. Les hommes sont de plus en plus enclin à renoncer au principe de la puissance paternelle. Ils sont prêts à se reconnaître sensibles, affectueux envers leurs tout jeunes enfants, sans que cela porte atteinte à leur identité masculine. Un nouveau modèle de père s’ébauche aujourd’hui… Quel est l’impact sur le développement de l’enfant ?

 

Qu’apportent les "nouveaux pères" à leurs enfants ?

 

Plusieurs études récentes ont été menées sur l'influence de la présence physique et active des pères auprès des tout-petits. Elles ont montré que cette présence les prépare plus efficacement et plus rapidement que ne le ferait la mère à s’aventurer dans le monde extérieur. Ils seraient plus vite à même de se débrouiller tout seul, de se faire reconnaître et accepter dans un groupe d’enfants et d’intégrer les règles de la vie collective. Par ses taquineries, ses tentatives de déstabilisation, le père incite l’enfant à s’adapter à la nouveauté. Par sa tendance à encourager l’exploration, il le prépare à affronter l’inconnu. Par son inclination pour les jeux physiques (chatouilles, luttes simulées…), il contribue à le sensibiliser au respect des règles et de l’adversaire. Les « nouveaux pères » exercent donc une action dynamisante dès les premières années de la vie de l’enfant, en l’aidant à faire le pont entre l’affirmation de soi dans la famille et l’affirmation de soi à l’extérieur.

 

Un rôle affectif aussi fort que celui de la mère ?

 

Un domaine des relations père-enfant que les études n’ont pas encore exploré reste celui de la forme que peut prendre leur attachement affectif, domaine traditionnellement réservé à la mère. Il a toutefois été prouvé (assez récemment) que l’enfant de moins de 1 an était susceptible de s’attacher à plusieurs personnes, et donc à son père. Toutefois, si l’enfant est en situation de détresse, la mère reste la plus à même de le réconforter.

Aujourd’hui, peu de données tangibles nous renseignent sur le mode d’attachement affectif que l’enfant peut nouer avec son père. Mais rares sont ceux qui doutent encore des bienfaits d’une paternité assurée pleinement au côté de la mère et dès le commencement…

 

 

Il a des soucis, quand consulter ?

 

Source : www.grandiravecnathan.com

 

           Grandir n’est pas toujours facile ! Le développement psychique de l’enfant n’est pas un long fleuve tranquille et il peut arriver que vous perdiez pied. Une aide psychologique peut alors être nécessaire.

 

Il traverse des difficultés passagères

 

Une simple écoute de votre part peut souvent être la solution au problème de votre enfant. Écoutez-le avec attention et aidez-le à exprimer ce qu’il ressent. Pour se livrer, l’enfant a besoin d’être entendu sans jugement. Faites parler votre cœur en évitant de lui transmettre vos sentiments de peur, de tristesse ou de colère.

Votre rôle est de lui donner la solidité nécessaire pour affronter et analyser ses difficultés. Dans bien des cas, il trouvera la réponse à ses problèmes.

 

Des troubles s’installent

 

La situation peut devenir plus préoccupante. Selon les cas, certains signes doivent vous alerter :

– votre enfant est isolé, replié sur lui-même, ou au contraire trop agité, agressif ;

– il est mal dans sa peau, il n’a pas confiance en lui ;

– il présente des troubles du sommeil, une énurésie ;

– son comportement et son humeur se mettent à changer, brutalement et de façon durable ;

– ses résultats scolaires sont en baisse très nette.

Vous avez conscience de la souffrance de votre enfant, vous vous posez beaucoup de questions, vous demandez conseil à droite et à gauche, vous perdez pied… C’est le moment de consulter.

 

Aide psychologique « à la carte »

 

La prise en charge psychologique de l’enfant offre différentes possibilités.

Un seul entretien, le plus souvent en présence de l’enfant et de ses parents, suffit parfois à dénouer la situation et à aider à trouver une solution au problème.

Dans d’autres cas, plusieurs entretiens seront nécessaires avant d’y voir plus clair.

Une psychothérapie pourra même alors être proposée, pour une durée plus ou moins longue. Soit elle est individuelle et consiste en des entretiens réguliers avec l’enfant, accompagné ou non de ses parents. Soit elle se pratique en groupe avec d’autres enfants : on parle alors de thérapie de groupe.

 

Les « psys » : qui consulter ?

  • Le psychologue scolaire, dans le cadre de l’école, participe à la prévention des difficultés scolaires et à l’évaluation des enfants en difficulté.
  • Le psychologue clinicien traite les troubles de l’enfant. Il travaille dans les hôpitaux, les lieux d’accueil de la petite enfance, ou en libéral. Ses thérapies passent essentiellement par la parole, mais aussi par le jeu, le modelage, le dessin…
  • Le pédopsychiatre est médecin, spécialiste des troubles de l’enfant et de l’adolescent. En dehors des thérapies, il est le seul à pouvoir prescrire des médicaments. En équipe, il exerce à l’hôpital ou dans des centres   spécifiques : CMP (Centre Médico-Psychologique) ou CMPP (Centre Médico-Psychopédagogique). En libéral, il exerce dans son cabinet.

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19/03/2011
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